dimanche 20 mars 2011

Histoire d Australie par Magali


Les plans sont toujours organises avec une évidence démontré : être modifier en cours de route.
Le plan A, l’original était de continuer notre route en traversant le célèbre canal de Panama en faisant une petite halte dans les Antilles Néerlandaises sur la fabuleuse ile de Curaçao en prenant soin de remplir nos réservoirs de fuel avant de repartir à l’ aventure. Les plans sont dépendants de plusieurs facteurs dont le plus représenté s’ avère etre la météo. Une habitude qui s’ installe chez les navigateurs quittant leur quotidien pour un an de voyage, à la recherche de la WIFI pour regarder la météo ! Au bout de deux longues semaines d’ attentes, remplies par des nombreuses sorties sur les plages sauvages du nord de l’ ile ainsi que les cours de plongée PADI me permettant d’ accéder au niveau Advanced Open Water, on décida de réécrire le plan original, : d’ agir au lieu d attendre une météo plus favorable !

Le Plan B fut baptisé : découverte de l’Australie en utilisant les voies aériennes pour le mois de Février. La course aux billets d’ avion, : chercher de ‘l’ aide par les agences de voyages sur l’ ile c’est avéré une belle utopie, à la limite de leur expliquer les astuces de leur travail, on opta pour le Home made. On se divisa les réservations entre les billets d’avion hôtels, les voitures à louer et les visa électroniques à obtenir sinon on ne pouvait arriver sur le sol australien ou Américain. Une semaine plus tard, la dernière du mois de janvier, nos valises étaient de nouveau sur le ponton, attendant avec impatience une nouvelle destination.

Le 28 janvier, après avoir enduré les 14 h de vols en additionnant les 6 h entre Miami et L-A, on respira l’ air brumeux du matin à Sydney, on était enfin aux pays des kangourous !
Notre découverte de L’ Australie se partager entre : notre road trip allant de Sydney à Brisbane avec une voiture loué, durant une semaine et 1000 km pour contempler les trésors des villages isolés et des plages restées naturelles de toutes empreintes humaines ; arriver à Brisbane pour rattraper le temps perdu avec des amis d’ université de mon père vivant en Australie depuis 25 ans ; puis prendre l’ avion cette fois ci et s’ émerveiller à Cairns devant la grande barrière de Corail. L’ avion à Sydney devait nous ramener à la fin de février en Amérique afin d essayer de comprendre la culture américaine en visitant les parcs d’ attractions du monde de Disney pendant une semaine.

Confortablement installé dans la Ford focus, les eucalyptus défilaient avec des passages éclairs de panneaux de signalisations , en forme de losange, totalement jaune et nous avertissant d’éventuel passages de kangourous, koalas, crocodiles traversant les routes. Sur la Pacific Highway , le paysage se modifie en fonction de l’ altitude, du désertique aride, on traverse les montagnes nous rappelant la Savoie avec ces plaines verdoyantes et ces grands sapins chatouillant les nuages. Lorsqu’ un endroit attirait notre curiosité, on trouvait un motel et passait la nuit, se baladant sur les littoraux au milieu d australiens très relax, leur phrase favorite après vous avoir salué « No Worries Man ». (pas de souci homme )Newcastle était un ancien port industriel ayant une forte influence sur l’économie du pays mais maintenant il subit une douce reconversion au tourisme balnéaire. N’ importe ou, sur n’importe qu’elle plage australienne, vous trouverez des taches colorés dans l’eau indiquant des surfeurs. Les vagues sont toujours présentes allant bien sur avec le nombre croissant de Surfers. On mangea sur l’avenue principale donnant sur l’ océan Pacifique, en prenant soin d observer les groupes de jeunes fêtant la fin de leur été, ou un anniversaire ; les filles subissaient la mode des robes très courtes même si elles ne disposaient pas d’une silhouette adéquate, le plus amusant se retrouvait dans leur façon de marcher. En effet, pour un samedi soir, les talons n’étaient pas laissés au placard, malheureusement, il n’y avait que des pavés en guise de trottoir, mais leur manque d’entrainement illustrée par une démarque chaloupé et peu glamour anima notre soirée ; on en déduisit que les occasions de sortir se faisaient rare au vu du nombre de magasins de mariages présents dans une seule rue, elles devaient toutes avoir la pression de trouver le parfait future mari avant de retourner dans la campagne.

Un autre décor plus calme mais tout aussi idyllique : Port Macquaries, un peu plus au nord, protégé par une épaisses couches de rochers qui furent customirisé pour des occasions bien précises, par la population locale, laissant libre court à leur imagination. Résultat magnifique, entre humours et demande en mariage, la monotonie de nos digues en France devraentt suivre la même option. On profita de la fraicheur de Wimgham, dans le motel du Golf club, en marchant dans la rain forest à la recherche de la cascade. Les écoliers ont reprit le chemin de l école, les restaurent se vident et les vendeurs se plaignent de la mauvaise publicité infligée à toute la coté pacifique après les Inondations, les magasines se sont vendus plus facilement mais on instauré les doutes de futures voyageurs en Australie. Les panneaux de soldes décorent les boutiques ravissant les accros au shopping. Nous tombâmes sous le charme de Yamba, confortablement installé dans le surf motel, on apprit à surfer au milieu des dauphins avec un ancien champion ‘Jérémy’, le cadre et les sensations après avoir réussit à dompter l’équilibre sur votre planche, ’était juste fabuleux. On accélère les arrivés sur les plages légèrement catastrophiques mais de nombreux fous rire par la suite.

Finalement, Brisbane fut lisible sur les panneaux de l’autoroute. Chez nos amis pour quelques jours, le temps passa incroyable vite entre le samedi sur une ile extérieure à Brisbane, puis un dimanche rythmé par la visite d un hôpital de koala qui sont victimes de klamédias visible par des conjonctivites et la sublime nuit dans le domaine forestier de O’ Reilly. Au programme nourrir les King’s parrots, se balader entre les arbres sur des ponts dansant au gré de nos sauts enfantins et se relaxer dans le jacuzzi face à la vue panoramique de la vallée d’eucalyptus. Une petite expédition avec un guide pour s’ émerveiller devant la flore, déguster du thé à l’eucalyptus en n’oubliant pas les petits pains grilles ,sur un feu de camp, légèrement décorés de sirop d’érables : comme les vrais Bushmans !

La pluie nous accueilli à Cairns, région plus humide dans le nord de l’australie. L’impatience de découvrir les fonds marins fut récompensée le 11 février en embarquant sur le bateau de TAKA Dive. Un équipage de 11 plongeurs divisé en guide, photographes, chef de cuisine et capitaine de ce 20 metres, les cabines étaient spacieuses et on trouva le salon étrangement grand en comparaison à celui de Trifon, des Sud Africains participant à leur première vacances de jeunes couple, un hollandais, un finlandaise, une ancienne allemande de L’Est nostalgique de ses camarades ainsi que des australiens en retraites composèrent le reste de l’équipage. 4 plong2es par jours, on ne pouvait se concentrer sur autre chose que d4 avaler quelques féculents, se réchauffer avec un thé avant de respirer de nouveau à travers notre détendeur. Les coraux n avaient pas subit la fureur du cyclone Yazi, classé en catégorie 5 et soufflant de nombreuses maisons ainsi que DES champs de cannes a sucre et bananiers. On a nourrit les Cod géant, symbole de Lézard Island, rencontre magique avec un requin baleine pendant nos paliers de décompressions et s’ amuser à retrouver parmi cette explosion de couleurs les terribles nudibranches aussi vénéneux que les grenouilles dans les forets d Amazonie. C’ est un autre monde qui s’offre à nous, en 4 D désormais, le sol à de la profondeur et les débutants ne savaient généralement pas ou regarder. On devient des spectateurs de ce monde colorés, orchestrés par les grignotements des poissions perroquets, des attaques de masque par les papas poissons clowns si vous vous approchez trop prés de leur anémone, les siestes de requins nurses sur le sol et les rencontres insolites comme avec la tortue désirant des câlins sur sa carapace. Les plus beaux souvenirs de plongées resteront sur la grande barrière de corail, maintenant il nous reste nos photos et vidéo de cette vie aquatique si diversifié vivant en harmonie.
Retour à Sydney pour profiter de la culture d’ une capitale avant de rejoindre L’ Amérique, une nuit à l’ opéra de Sydney avec Madame Butherfly( sans sous titre) !. Que choisir de garder en mémoire, les jeux de lumières accentuant l’ambiance rythmée par l’orchestre, les costumes et expressions des acteurs-chanteurs si brillant ou le suspense de la fin de la pièce ? l’ observatoire de sydney nous offrir des explicationsà diverses questions sur le trou noir et films en 3 D’ravissant notre curiosité pour le monde céleste. Il étant maintenant tant de regagner l’aéroport afin de traverser le pacifique pour rejoindre les états Unis.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire