Les plans sont toujours organises avec
une évidence démontré : être modifier en cours de route.
Le plan A, l’original était de
continuer notre route en traversant le célèbre canal de Panama en
faisant une petite halte dans les Antilles Néerlandaises sur la
fabuleuse ile de Curaçao en prenant soin de remplir nos réservoirs
de fuel avant de repartir à l’ aventure. Les plans sont dépendants
de plusieurs facteurs dont le plus représenté s’ avère etre la
météo. Une habitude qui s’ installe chez les navigateurs quittant
leur quotidien pour un an de voyage, à la recherche de la WIFI pour
regarder la météo ! Au bout de deux longues semaines d’
attentes, remplies par des nombreuses sorties sur les plages sauvages
du nord de l’ ile ainsi que les cours de plongée PADI me
permettant d’ accéder au niveau Advanced Open Water, on décida de
réécrire le plan original, : d’ agir au lieu d attendre une
météo plus favorable !
Le Plan B fut baptisé :
découverte de l’Australie en utilisant les voies aériennes pour
le mois de Février. La course aux billets d’ avion, :
chercher de ‘l’ aide par les agences de voyages sur l’ ile
c’est avéré une belle utopie, à la limite de leur expliquer les
astuces de leur travail, on opta pour le Home made. On se divisa les
réservations entre les billets d’avion hôtels, les voitures à
louer et les visa électroniques à obtenir sinon on ne pouvait
arriver sur le sol australien ou Américain. Une semaine plus tard,
la dernière du mois de janvier, nos valises étaient de nouveau sur
le ponton, attendant avec impatience une nouvelle destination.
Le 28 janvier, après avoir enduré les
14 h de vols en additionnant les 6 h entre Miami et L-A, on respira
l’ air brumeux du matin à Sydney, on était enfin aux pays des
kangourous !
Notre découverte de L’ Australie se
partager entre : notre road trip allant de Sydney à Brisbane
avec une voiture loué, durant une semaine et 1000 km pour contempler
les trésors des villages isolés et des plages restées naturelles
de toutes empreintes humaines ; arriver à Brisbane pour
rattraper le temps perdu avec des amis d’ université de mon père
vivant en Australie depuis 25 ans ; puis prendre l’ avion
cette fois ci et s’ émerveiller à Cairns devant la grande
barrière de Corail. L’ avion à Sydney devait nous ramener à la
fin de février en Amérique afin d essayer de comprendre la culture
américaine en visitant les parcs d’ attractions du monde de Disney
pendant une semaine.
Confortablement installé dans la Ford
focus, les eucalyptus défilaient avec des passages éclairs de
panneaux de signalisations , en forme de losange, totalement jaune et
nous avertissant d’éventuel passages de kangourous, koalas,
crocodiles traversant les routes. Sur la Pacific Highway , le paysage
se modifie en fonction de l’ altitude, du désertique aride, on
traverse les montagnes nous rappelant la Savoie avec ces plaines
verdoyantes et ces grands sapins chatouillant les nuages. Lorsqu’
un endroit attirait notre curiosité, on trouvait un motel et passait
la nuit, se baladant sur les littoraux au milieu d australiens très
relax, leur phrase favorite après vous avoir salué « No
Worries Man ». (pas de souci homme )Newcastle était un ancien
port industriel ayant une forte influence sur l’économie du pays
mais maintenant il subit une douce reconversion au tourisme
balnéaire. N’ importe ou, sur n’importe qu’elle plage
australienne, vous trouverez des taches colorés dans l’eau
indiquant des surfeurs. Les vagues sont toujours présentes allant
bien sur avec le nombre croissant de Surfers. On mangea sur l’avenue
principale donnant sur l’ océan Pacifique, en prenant soin d
observer les groupes de jeunes fêtant la fin de leur été, ou un
anniversaire ; les filles subissaient la mode des robes très
courtes même si elles ne disposaient pas d’une silhouette
adéquate, le plus amusant se retrouvait dans leur façon de marcher.
En effet, pour un samedi soir, les talons n’étaient pas laissés
au placard, malheureusement, il n’y avait que des pavés en guise
de trottoir, mais leur manque d’entrainement illustrée par une
démarque chaloupé et peu glamour anima notre soirée ; on en
déduisit que les occasions de sortir se faisaient rare au vu du
nombre de magasins de mariages présents dans une seule rue, elles
devaient toutes avoir la pression de trouver le parfait future mari
avant de retourner dans la campagne.
Un autre décor plus calme mais tout
aussi idyllique : Port Macquaries, un peu plus au nord, protégé
par une épaisses couches de rochers qui furent customirisé pour des
occasions bien précises, par la population locale, laissant libre
court à leur imagination. Résultat magnifique, entre humours et
demande en mariage, la monotonie de nos digues en France devraentt
suivre la même option. On profita de la fraicheur de Wimgham, dans
le motel du Golf club, en marchant dans la rain forest à la
recherche de la cascade. Les écoliers ont reprit le chemin de l
école, les restaurent se vident et les vendeurs se plaignent de la
mauvaise publicité infligée à toute la coté pacifique après les
Inondations, les magasines se sont vendus plus facilement mais on
instauré les doutes de futures voyageurs en Australie. Les panneaux
de soldes décorent les boutiques ravissant les accros au shopping.
Nous tombâmes sous le charme de Yamba, confortablement installé
dans le surf motel, on apprit à surfer au milieu des dauphins avec
un ancien champion ‘Jérémy’, le cadre et les sensations après
avoir réussit à dompter l’équilibre sur votre planche, ’était
juste fabuleux. On accélère les arrivés sur les plages légèrement
catastrophiques mais de nombreux fous rire par la suite.
Finalement, Brisbane fut lisible sur
les panneaux de l’autoroute. Chez nos amis pour quelques jours, le
temps passa incroyable vite entre le samedi sur une ile extérieure à
Brisbane, puis un dimanche rythmé par la visite d un hôpital de
koala qui sont victimes de klamédias visible par des conjonctivites
et la sublime nuit dans le domaine forestier de O’ Reilly. Au
programme nourrir les King’s parrots, se balader entre les arbres
sur des ponts dansant au gré de nos sauts enfantins et se relaxer
dans le jacuzzi face à la vue panoramique de la vallée
d’eucalyptus. Une petite expédition avec un guide pour s’
émerveiller devant la flore, déguster du thé à l’eucalyptus en
n’oubliant pas les petits pains grilles ,sur un feu de camp,
légèrement décorés de sirop d’érables : comme les vrais
Bushmans !
La pluie nous accueilli à Cairns,
région plus humide dans le nord de l’australie. L’impatience de
découvrir les fonds marins fut récompensée le 11 février en
embarquant sur le bateau de TAKA Dive. Un équipage de 11 plongeurs
divisé en guide, photographes, chef de cuisine et capitaine de ce 20
metres, les cabines étaient spacieuses et on trouva le salon
étrangement grand en comparaison à celui de Trifon, des Sud
Africains participant à leur première vacances de jeunes couple, un
hollandais, un finlandaise, une ancienne allemande de L’Est
nostalgique de ses camarades ainsi que des australiens en retraites
composèrent le reste de l’équipage. 4 plong2es par jours, on ne
pouvait se concentrer sur autre chose que d4 avaler quelques
féculents, se réchauffer avec un thé avant de respirer de nouveau
à travers notre détendeur. Les coraux n avaient pas subit la fureur
du cyclone Yazi, classé en catégorie 5 et soufflant de nombreuses
maisons ainsi que DES champs de cannes a sucre et bananiers. On a
nourrit les Cod géant, symbole de Lézard Island, rencontre magique
avec un requin baleine pendant nos paliers de décompressions et s’
amuser à retrouver parmi cette explosion de couleurs les terribles
nudibranches aussi vénéneux que les grenouilles dans les forets d
Amazonie. C’ est un autre monde qui s’offre à nous, en 4 D
désormais, le sol à de la profondeur et les débutants ne savaient
généralement pas ou regarder. On devient des spectateurs de ce
monde colorés, orchestrés par les grignotements des poissions
perroquets, des attaques de masque par les papas poissons clowns si
vous vous approchez trop prés de leur anémone, les siestes de
requins nurses sur le sol et les rencontres insolites comme avec la
tortue désirant des câlins sur sa carapace. Les plus beaux
souvenirs de plongées resteront sur la grande barrière de corail,
maintenant il nous reste nos photos et vidéo de cette vie aquatique
si diversifié vivant en harmonie.
Retour à Sydney pour profiter de la
culture d’ une capitale avant de rejoindre L’ Amérique, une nuit
à l’ opéra de Sydney avec Madame Butherfly( sans sous titre) !.
Que choisir de garder en mémoire, les jeux de lumières accentuant
l’ambiance rythmée par l’orchestre, les costumes et expressions
des acteurs-chanteurs si brillant ou le suspense de la fin de la
pièce ? l’ observatoire de sydney nous offrir des
explicationsà diverses questions sur le trou noir et films en 3
D’ravissant notre curiosité pour le monde céleste. Il étant
maintenant tant de regagner l’aéroport afin de traverser le
pacifique pour rejoindre les états Unis.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire